Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (28) Enceinte Et Toujours Hypersexuelle : La Suite
Dans le récit précédent, jai expliqué comment, lors de ma première grossesse, notre couple à Philippe et moi, sous la houlette de Rachid, mon amant de lépoque, nous avions vécu mon hypersexualité et le candaulisme de mon époux. Car, pendant toute cette grossesse, mon hypersexualité ne sétait pas calmée, bien au contraire.
Il y a eu deux phases en fait.
Durant la seconde phase, Rachid ne soccupa plus de moi, me disant cyniquement quil attendrait ma délivrance pour redevenir mon mâle et, quen attendant, il « irait voir ailleurs ».
Pourtant, pendant une première phase, qui dura jusquau cinquième mois de grossesse inclus, Rachid avait continué à assumer pleinement son devoir «conjugal». Jemploie volontiers ce terme car cest bien ainsi que nous vivions notre ménage à trois depuis que Rachid sétait installé à notre domicile et se comportait, en public comme en privé, comme mon véritable « époux », y compris dans loccupation du lit conjugal. Cette logique avait été poussé jusquau bout, puisque cétait Rachid qui avait conçu notre premier , que je portais à ce moment-là.
Sans revenir aux pratiques extrêmes que nous avions mises entre parenthèses le temps de la maternité, Rachid, au cours de ces premiers mois, pour faire face à ma libido et satisfaire le candaulisme de Philippe, faisait régulièrement appel à du «soutien», comme il lavait fait une première fois avec Serge, le collègue de travail de Philippe.
Mes états dâme
Il marrivait de culpabiliser mais, vite, très vite, lexcitation reprenait le dessus. Je savais quil était trop tard pour faire marche arrière. Je me demandais comment jen étais arrivée là, comment javais pu me laisser faire, succomber ainsi à mon hypersexualité et au candaulisme de Philippe, me laisser dériver. Je ne comprenais pas que, future maman, mon état ne calmait pas mon hypersexualité.
Pourtant je me rappelais quil y a encore peu de temps, avant la rencontre avec Rachid en juillet 2007, je voulais être une épouse sage et fidèle.
Jétais partagée entre la honte, les remords et, à la fin, jassumais, me disant que javais eu raison de donner libre cours à ma nature profonde, à ces envies qui me taraudaient depuis ma puberté. Et quenfin mon mari, lhomme à qui javais lié mon destin, lavait voulu ainsi.
Offerte à un inconnu
Je me souviens particulièrement de cette soirée où Rachid revint à la maison accompagné dun inconnu. Jétais au salon, en compagnie de Philippe.
Rachid se dirige vers moi. Je navais pas eu le temps de voir lhomme.
Je vais te mettre un foulard sur les yeux. Ne bouge pas.
Je ne bouge pas, me laisse aller. Linconnu ne perd pas de temps. Il ne dit pas un mot, pas plus que Philippe et Rachid.
Philippe et moi acceptons depuis longtemps que Rachid dispose de mon corps comme il lentend et quil moffre à qui il veut.
Une main se promène déjà sur mon genou, remonte lentement sur ma cuisse, soulevant ma robe. Mon pouls saccélère, mon cur bat plus fort. La main se faufile entre mes cuisses. Je me détends, me laisse aller, laissant passer la main qui me caresse maintenant, à toucher ma culotte.
Lexcitation est la plus forte : Rachid va moffrir à un inconnu, en présence de Philippe. Je me sens à la fois humiliée dêtre traitée ainsi, mais aussi terriblement excitée. Je ne discutais pas alors les volontés de Rachid qui était lordonnateur de mes plaisirs.
Lhomme se penche légèrement pour placer sa main plus loin entre mes cuisses.
Jai soudain un spasme, mon clitoris vient dêtre débusqué et lhomme sen amuse. Des frissons me parcourent. Je rejette ma tête en arrière, jécarte encore un peu les jambes, remontant légèrement les genoux. Aussitôt, un doigt me pénètre, profondément. Jétouffe un râle, les yeux fermés. Je sens soudain une autre main glisser le long de ma cuisse droite. Cest Philippe ! Mais alors? Qui est à gauche? Qui me caresse et me doigte la chatte depuis tout à lheure?
Pour linstant, lhomme à ma gauche a repris ses investigations. Mon sexe est à nouveau visité. Déjà passablement excitée, je mouille énormément, ma chatte coule littéralement. Ce nest plus un, mais des doigts qui mexplorent, tandis que Philippe, à ma droite, a entrepris de défaire les boutons du haut de ma robe pour caresser mes seins. En quelques minutes, cest une bouche avide qui se pose sur mes mamelles de future maman et qui gobent ses tétons. Les caresses conjuguées des deux hommes ont vite raison de mes émotions. Je me tends dun coup, levant les fesses du canapé. Philippe na que le temps de me prendre la bouche dans un baiser fougueux qui me muselle au moment où lorgasme arrive. Je me tends violemment, puis retombe, souffle bruyamment. Mon cur est parti à cent à lheure.
Toute à mes émotions, je me laisse tirer par la main. Philippe moblige à me lever, à le suivre. Cest dans notre chambre quaura lieu le coït que jattends désormais avec impatience.
Arrivés à la chambre conjugale que Philippe appelait chambre des plaisirs, cet inconnu se sert contre moi, me prend dans ses bras et un baiser passionné nous unit. Je réponds à son baiser, parce que jen ai envie et que je veux que mon mari et Rachid en aient pour leur argent. Je suis traitée comme une salope, alors je me comporterais ainsi.
La langue de mon amant senroule autour de la mienne tandis quune main part à laventure sous ma robe, juste entre mes cuisses.
Je suis maintenant contre Rachid. Cest lui qui va moffrir, il le veut ainsi pour bien montrer que je suis à lui. Il entreprend aussitôt de finir de me déshabiller, déboutonnant la robe qui tombe au sol, puis cest le slip qui suit le même chemin. Il me demande de masseoir dans le fauteuil sur lequel sinstalle si souvent Philippe, pour assister à nos ébats.
A peine assise, Rachid prend mes jambes et les relève en les écartant. Je suis offerte, je sais déjà ce qui va se passer. Excitée dêtre traitée de cette façon, je ferme les yeux. Une bouche chaude, des lèvres douces entrent en contact avec mes parties intimes. Rachid, puis Philippe prennent à tour de rôle mon clitoris entre leurs lèvres et laspirent littéralement. Une décharge électrique irradie mon ventre, je crie.
Oh! noooonnn!
Je me tends sous lexcitation. Une langue agile entre et sort de mon vagin mouillé. Mes hommes savent y faire. Un doigt, puis deux viennent me visiter, sagitant en profondeur dans mon ventre secoué par les spasmes. Je sens le plaisir monter. Rachid sen est aperçu. Il fait signe à Philippe darrêter et me fait me retourner.
Je prends prend position à genoux sur le fauteuil, sappuyant des coudes sur le dossier.
Aussitôt, des mains commencent une sarabande sur mon corps, décrivant des volutes sensuelles. Mes fesses, mes seins, mes cuisses, tout mon corps est parcouru par ces caresses, tout mon corps est parcouru par des frissons. Lhomme passe sa main entre mes fesses, puis dans ma fente complètement trempée. A nouveau, des doigts sintroduisent dans mon ventre. Je ferme les yeux, savoure linstant, ne pense plus à rien. Les caresses se font plus profondes, plus sensuelles, puis sarrêtent, quelques secondes.
Les mains qui me touchent nont pas cessé leurs caresses. Je me détends à nouveau, emportée par lexcitation. Je sais que cet homme est là pour me prendre, pour me posséder, je sais que je vais me donner à lui, pour son plaisir, pour celui de mon amant Rachid et de Philippe, mon mari candauliste.
Je suis traitée comme une prostituée, je devrais me sentir humiliée. En fait je ne pense plus quau plaisir que je peux prendre dans la spirale où mentraîne Rachid, avec la complicité de mon mari et mon assentiment.
Doucement, des mains se posent sur mes épaules, me poussent en avant. Je me laisse conduire, baisse les épaules et pose ma tête sur mes avant-bras. Les mains se saisissent de mes hanches et me tirent légèrement, me forçant à relever les fesses.
Je tends ma croupe à cet inconnu. Linstant est imminent. Quelque chose de doux et ferme à la fois, de chaud aussi, se pose sur mes lèvres intimes, glisse dans ma fente. Par réflexe, je mouvre légèrement, facilitant la pénétration. Je suis consciente que linconnu va me prendre sans protection, je fais confiance à Rachid pour sêtre assuré préalablement quil est sain, et ce dans son propre intérêt.
La colonne de chair senfonce en moi, dun coup, profond, violent, comme si lhomme cherchait à me perforer.
Aahhh! Ohhh!
Je pousse un cri, à la fois de surprise et démotion. Lhomme est en moi. Je le sens bien. Il me prend, se propulse plusieurs fois au fond de mon ventre, rageusement. Je râle à chaque coup de boutoir. Lhomme tape, pousse, senfonce encore et encore. Je crie à chaque poussée.
Ahh! Cest
fort
ouiii!
Des mains se promènent sur mon ventre rond, sur mes seins. Les deux hommes prennent mon corps. Linconnu me prend de plus en plus vite. Je sens ses couilles battre contre mes fesses. Une fraction de seconde, je sens près de moi Rachid, mon amant. Puis à nouveau, cette queue qui me prend, qui me force. Je perds pied. Une vague déferle dans mon ventre. Philippe, qui me connait si bien, a vu sur mon visage la montée du plaisir.
Jouis ma chérie, vas-y, jouis!
Oh! Oh nooonnn! Quest-ce quil me met! Philippe
je
je viens
Ouiii
.
Je rue, je souffle, parcourue de spasmes. Lhomme se raidit en moi. Je me rends compte quil vient, quil va décharger en moi. Je nai ni la force, ni la volonté de me rebeller, de me refuser. Au contraire, jai envie dêtre remplie par ce nouvel amant, cet inconnu. La première décharge me surprend, me tétanise. Puis les autres se succèdent, finissant de me faire jouir, puis je me calme dun coup, vaincue par la jouissance.
Lhomme se retire. Des mains me prennent à nouveau par les hanches. Cest Rachid, je lai reconnu, je suis sa femelle, je sais, je sens quand cest lui qui me prend. Il se présente derrière moi et menfile à son tour, dun seul coup. Ça glisse tout seul tellement je suis lubrifiée. Je suis heureuse de le recevoir. Il me prend, alors que Philippe me caresse en même temps, je retrouve ses mains douces sur mon ventre quil aime à caresser. Philippe encourage celui à qui il ma offerte complétement :
Je veux que tu lui donnes ton cul, mon Olga. Donne ton corps, en entier. Tu aimes les caresses, tu aimes être prise, et moi jaime quand Rachid tencule.
Philippe sait bien que Rachid peut faire de moi ce quil veut. Rachid sort de ma chatte et promène sa verge sur le petit trou, étalant la mouille, lubrifiant le passage. Il replonge dans le vagin accueillant puis à nouveau se présente devant lillet.
Mon mâle sagrippe aux hanches et commence à pousser. Bien quhabituée à être ainsi prise par mon amant, je me crispe légèrement.
Je pousse légèrement, souffle en même temps. Le gland me pénètre. Rachid pousse à nouveau, lentement mais fermement. Lanus sélargit, se détend. Ça y est, il est au fond. Doucement, Rachid ressort, puis revient en moi, puis à nouveau me reprend. Je ressens un grand bien-être. Puis dun coup, la houle sempare de moi. La jouissance me surprend, fulgurante, violente. Mon ventre se tord, je transpire. Rachid se raidit à son tour et masperge le fondement de plusieurs traits, me faisant me pâmer encore et encore.
Quand jai enlevé mon bandeau, jai su qui était linconnu. Cétait un autre notable de la ville où nous habitions alors. Cétait un ennemi intime de Philippe, qui ne manquerait pas de se vanter quil avait « baisé la pute à T. et, en plus, avec son accord et en sa présence ». Rachid, avec les encouragements de Marie C., avec ma soumission et lassentiment de Philippe, continuait à profiter de la situation pour ruiner la réputation de notre couple et celle de Philippe tout particulièrement. Il est vrai que cest Philippe qui avait, en quelque sorte, lancé le mouvement, avec lorganisation de nos noces qui avaient fait tant scandale (voir le récit n°5). Il avait poursuivi par le choix des tenues quil mencourageait à porter. Mais cétait bien la relation avec Rachid et toutes les débauches où celui-ci nous avait entrainées qui avaient définitivement établi notre réputation. On ne parlait plus de moi quen employant les termes de putain, de catin, et de Philippe comme étant le cocu. Et ce y compris quand beaucoup de ces gens avaient participé à ces séances et profité de mes charmes. Cette hypocrisie nexcuse pas notre comportement car nous avions accepté, mieux encouragé tout cela, mais nous avons beaucoup appris pendant la « période Rachid » au sujet de lattitude des gens, et notamment quand ils sont issus des milieux les plus aisés.
Pour revenir à mon récit, à partir du 7ème mois de grossesse, Rachid avait commencé à ne plus sintéresser à moi, alors que mon hypersexualité était toujours aussi vive. Pire, non seulement il mavait fait savoir quil allait voir ailleurs, car il avait besoin dune « vraie femme », mais en plus il saffichait avec Marie C. celle-ci faisait cela afin de me faire mal et pensait rendre Philippe jaloux.
Cest dans ces conditions que jai été adultère, vis-à-vis de Philippe (mais ça ce nétait pas nouveau), mais surtout de Rachid.
Depuis que jétais enceinte, il me semblait que je dégageais un sex-appeal d'une rare intensité. Javais remarqué le regard de cet inconnu dans ce supermarché. Il avait une quarantaine dannées. Il me suit à distance jusque chez moi.
Son regard se fait un peu plus lourd sur moi. Mon ventre rond et mes seins devenus lourds, ma démarche difficile semblent lui plaire.
Lhomme me suit.
Je suis dans mon septième mois et cela devient difficile. Lhomme sapproche :
Bonjour Madame, puis-je vous aider avec vos courses ? Je mappelle Alain et jhabite votre quartier. Je vous ai remarqué depuis longtemps. Permettez-moi de vous dire que je vous trouve encore plus belle depuis que vous êtes enceinte.
Merci, cest gentil de me proposer votre aide. Appelez-moi Olga. Je vous remercie, cest vrai que ça devient difficile, je suis seule à la maison, mon mari travaille et mon amant est pour le moment allé voir ailleurs. Je vous choque ?
Pas du tout. Les gens parlent beaucoup et de façon très méchante au sujet de votre foyer. Pour moi, vous faites votre vie comme vous lentendez, ça ne regarde que vous. Vous savez, je suis un homme ordinaire, un père de famille, un mari fidèle. Jamais je naurais imaginé que jose vous adresser la parole.
Lhomme prend mes paquets pour les ramener chez moi.
Arrivés chez nous, je le fais entrer pour lui proposer un café. Il me regarde fixement et je comprends son désir, quil nose avouer.
A posteriori, je pense pouvoir dire que mon corps laisse transparaître mon besoin de sexe.
Je sors lhomme de sa rêverie et pointe son entrejambe :
Oh, c'est moi qui vous mets dans cet état ? J'aimerais continuer à exciter mon amant, mais depuis quelques temps il ne mhonore plus, ma grossesse ne lui fait plus le même effet quà vous.
Il rougit. Jen rigole.
Ne rougissez pas : je suis flattée et heureuse de faire cet effet à quelqu'un. Vous pouvez me laisser la toucher ?
Les yeux soutenant mon regard gourmand, il ne dit rien. Alors je mapproche de lui, dépose un baiser sur sa joue et, après avoir sorti sa queue du pantalon, je prends son membre en main.
Elle est belle ! Ah ! Quelle envie, si vous saviez !
Je le masturbe légèrement ; il a les yeux fermés, ma main est sur son sexe, mes seins lourds collés à sa poitrine. Lentement je magenouille. La tête entre ses jambes, jentame une fellation, je prends un plaisir immense à sucer son sexe. Il ferme les yeux, il est au paradis.
Jai commencé par le gland, ma bouche ne quitte pas son sexe. Lhomme met une main sur mon sein et commença à le malaxer. Je gémissais en même temps que je plongeais son sexe au fond de ma gorge. Après quelques va-et-vient profonds, je pris son sexe en main et releva la tête. Je reculais légèrement et, les yeux dans les yeux, je lui dis :
Viens dans ma bouche ! Jadore le sperme, tu sais. Chaque matin, je commence la journée en taillant une pipe à mon mari.
Une petite dizaine de mouvements et les contractions caractéristiques se font sentir. La semence chaude et collante se projette dans ma bouche. Je reçois tout, javale tout et garde son sexe en bouche, je le nettoie de ma langue coquine. Jai envie que cela ne s'arrête jamais.
Puis je me redresse et lui glisse à l'oreille :
Continuons, jai envie de toi et je veux cocufier mon mari candauliste et surtout mon amant.
Lhomme me regarde, stupéfait, mais se laisse faire.
Sur ce, je le prends par la main. Je lattire à moi, colle ma poitrine contre lui, féline.
Lhomme relève mon haut. Il sattarde sur mon ventre proéminent et les seins prisonniers du soutien-gorge. Il se fait un devoir de les libérer, ces deux globes lourds et d'un blanc laiteux. Jai les yeux fermés, la tête légèrement penchée sur le côté. Je mabandonne à sa main et à sa bouche.
Au bout de quelques minutes il me prend par la taille et me fait reculer jusqu'au canapé où il me fait m'asseoir.
La robe bien relevée, il sattarde sur la peau tendre de mes cuisses. Son index survole plus qu'il ne caresse ma fente, juste le temps d'évaluer mon degré d'excitation... Sa bouche furette, se promène, sa langue fait connaissance avec mon sexe humide. Cest comme une libération pour moi : enfin un mâle autre que Philippe va s'occuper de moi! Je mefforce de ne pas crier, mais mon corps s'abandonne. En quelques secondes un orgasme dévastateur monte et traverse mon corps.
La bouche de lhomme, inondée, continue son ouvrage sur mon corps de femme enceinte. Il prend un plaisir sans bornes à caresser, embrasser ce sexe, véritable hymne au plaisir et à la sexualité dans son sens le plus noble.
Je reprends mes esprits, lui sourit des yeux. Je le regarde et lui demande de changer de place. Je me redresse un instant pour quitter ma robe et la rouler en boule sous mes genoux. Je suis nue devant lui. L'espace d'un instant, jai rougi. Je me suis conduite comme la dernière des catins avec cet inconnu dont je ne connais seulement le prénom, reproduisant en pire ce que javais fait à Rio avec Joao et Pedro ou encore dans lascenseur de notre immeuble lors de ma première rencontre avec Rachid.
Ces considérations ne m'empêchent pas de reprendre goulûment son sexe en bouche. Lhomme prend plaisir à ma fellation, il a compris quil a affaire à une femme qui fait ça avec beaucoup de plaisir. Il profite un peu de la situation, une main palpant un sein, l'autre accompagnant le mouvement de ma tête. Il ne me faudra que quelques minutes pour en finir avec lui.
Je suis presque déçue. Je le regarde et lui dit :
J'aimerais vous revoir jeudi, mais faites-moi un petit plaisir.
Ce que vous voulez !
Venez avec les bourses pleines.
Jeudi lhomme est ponctuel. La porte est à peine entrouverte. Je lattends dans la chambre conjugale, nue, bien décidée à me faire mettre. Lhomme se glisse et referme la porte derrière lui. Il mappelle et je lui réponds d'une voix douce. Il se dirige vers la chambre conjugale et me trouve dos à la porte, le sexe totalement offert. Jai les seins et la tête sur le matelas de mon lit. L'invitation est on ne peut plus claire, et pourtant je lui demande, je le supplie de me prendre.
Vous avez des préservatifs ?
Non, je veux sentir ton sperme couler en moi. Tu t'es masturbé ces derniers-jours ? Tu as fait ton devoir conjugal ?
Non, je me suis réservé pour toi !
Alors viens en moi, je n'en peux plus !
Rapidement, Alain se retrouve aussi nu que moi. Il sapproche de mon sexe quil embrasse. Je suis tellement mouillée
Il insère un doigt dans mon vagin ; je soupire. Il présente son sexe quil insère lentement. Quel plaisir !
Il se penche légèrement sur moi pendant que son sexe entre petit à petit dans ce canal étroit. Une main caresse mon ventre rond, l'autre s'attarde sur un sein. Jai voulu cette position, cette façon presque dégradante de me prendre, ça m'excite. Il se penche au maximum pour me mordiller le cou. Je lui présente ma bouche.
Tu veux changer de position ?
C'est la position où ton sperme restera le mieux en moi. J'ai besoin de sentir qu'un homme me désire et qu'il est prêt à faire des folies pour ça.
Ainsi passèrent les minutes suivantes. Il me fit me redresser sur mes mains pour faciliter nos baisers, pour avoir un accès plus facile à mes seins, mais je repris bien vite ma position lorsquil mannonça sa jouissance. Et c'est ainsi, dans cette position bestiale, que trois jours dattente se sont déversés par puissantes saccades dans mes chairs intimes. Lhomme a senti mon orgasme sur son sexe alors que son sperme me remplissait. Il se retire et se rhabille tandis que je reste dans cette position.
Il se fait tard, lui dis-je, les fesses toujours en l'air ; on se voit lundi prochain ?
Oui bien sûr, répond-il, heureux de la proposition
Je me redresse enfin et se tourne vers lui; je lembrasse longuement. Jusqu'à ma dernière semaine de grossesse, jai continué à voir cet homme, devenu mon amant.
Je me suis naturellement confiée à Philippe, à qui je ne cache rien. Loin de me faire des reproches, il se montra tendre et mencouragea, se félicitant que jai eu du plaisir. Alain refusa que mon mari puisse assister à nos ébats. Ce bon père de famille, qui trompait son épouse pour la première fois et qui plus est avec une femme qui approchait du terme de sa grossesse, ne jugeait pas le candaulisme de Philippe. Il lui demandait juste de comprendre quil ne pourrait pas «faire cela» en présence de quelquun dautre, et particulièrement du mari de sa maîtresse.
Je fus particulièrement reconnaissante envers Philippe de se montrer si compréhensif, daccepter cet adultère, car les séances presque quotidiennes avec Alain me faisaient beaucoup de bien, apaisait ma libido par une relation qui était à la fois sexuelle mais aussi pleine de tendresse.
Après mon accouchement, nous avons cessé de nous voir. Je sentais quAlain était tombé amoureux de moi, mais exigeait que je quitte tout pour le suivre. Il nétait pas question pour moi de me séparer de Philippe et pas davantage de renoncer à Rachid, malgré son comportement. Et je ne voulais pas non plus briser le ménage de ce bon père de famille. Peu après, il a déménagé dans un autre quartier et nous nous sommes perdus de vue.
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